Les histoires qui ont contribuer au mythe de la S F V Envoyez-moi vos histoires sur les Vierzon, les meilleures seront éditées sur le site. Mon Arrière Grand-père était entrepreneur de battage, mon Grand-père Alfred DEGARDIN à commencé dans l'entreprise familiale en 1910 puis il a pris la succession à sa mort jusqu'en 1960. Il a d'abord travaillé avec une locomobile, puis il a acheté en 1938 son premier Vierzon. Pendant la guerre il a battu au moteur électrique. Enfin il a acheté en 1949 le FV1 pour un peu plus d'un million de francs de l'époque. En 1975 c'est moi qui ait "pris le volant". Mon grand-père était de ceux qui font du neuf avec du vieux et depuis 1988 je n'ai pas remis cette merveilleuse mécanique en marche. Car il a emporté bons nombres de ses secrets avec lui. Cette Photo a été prise par mon grand-oncle comme beaucoup d'autres lors de la campagne de battage 51-52, à Elesmes petit village du Nord près de Maubeuge chez un certain Mr CHOQUEZ. Mon grand-père sur cette photo est la personne de dos, sous le monte gerbes. La batteuse est une Société Française, en métal à roues de fer. Lorsque je repense à cette époque, si je lui disais "c'était le bon vieux temps" il disait c'est maintenant le bon temps. Beaucoup de gens du village se souviennent de le voir passer tard le soir, avec cet attelage imposant, tracteur, presse, batteuse et l'hiver dans les lignes droites il marchait à côté pour se réchauffer. VEINAND Bruno Je me rends de suite sur place avec mon 302, sans oublier de prendre au passage Dominique et son 401 tout fraîchement restauré, pour accueillir le nouveau venu. Tout fier, son nouveau propriétaire nous explique les différences entre le sien et les nôtres, après de nombreux échanges verbaux de toutes sortes, nous décidons de le mettre en route et d'aller faire quelques kilomètres tous les trois, le nouvel arrivant partant en tête du cortège afin de lui faire connaître sa nouvelle région. Après une demi-heure de route nous décidons de faire une halte sur le bas côté de la route, afin de vérifier la mécanique . Après les premières constations encourageantes concernant le nouveau venu, nous passons derrière le 401 qui le suivait afin de nous abriter du passage des voitures automobiles. Soudain nous aperçûmes Didier bondir et courir en direction du pré, comme on à rarement vu courir quelqu'un dans un pré, nous nous sommes regardés Dominique et moi-même en nous posant la question "quelle mouche l'a donc piqué" en avançant d'un pas, nous avons compris la situation. Le frein à main du Vierzon venait de lâcher et le 302 dévalait le pré en marche arrière, sans le démarrage éclair de notre ami Didier, allez savoir ou nous l'aurions retrouvé. Le clou de l'anecdote eu lieu le lendemain où dans un bref échange téléphonique entre le nouveau et l'ancien propriétaire celui ci lui dit " faites attention le frein à main ne tient pas". R LEMOINE
Les Vierzon de ma Grand mère C'est en surfant sur votre
site dédié à la S F V que je me suis souvenue que je possédais trois
photos de la ferme de mes arrière-grands-parents. Celle-ci existe
toujours aujourd'hui elle se trouve sur la petite commune de La Folletière
en Seine Maritime. Ces clichés m'ont été donnés par ma grand-mère
paternelle.
H1
nez rond - La première photo est celle
du premier S F V acheté par mon arrière grand père une fois installé
sur l'exploitation (il était auparavant entrepreneur de battage avec 2
batteuses et 2 locomobiles de marque S F V bien sur) Le chauffeur
s'appelle Marcel Druot, il travaillait sur la ferme. Les deux voiles
sur les roues arrières permettaient de jumeler le tracteur avec des
roues à cages. il est muni d'un éclairage, mais le type du
tracteur ne m'est pas connu (je ne suis un grand spécialiste de
la S F V)
H1
et batteuse S F V - La deuxième photo est prise
devant la grange, avec le même tracteur qui entraîne la batteuse (S F
V
mais dont le type m'est inconnu) La dame debout, qui coupe les cordes,
est ma grand-mère et la tête qui dépasse à gauche est celle de sa sœur.
FV1 - Pour la petite histoire ce
tracteur a été racheté par un cousin, il a effectué son travail
mais comme cet homme était aussi chauffeur pour la coopérative le
tracteur était difficile à démarrer et à conduire pour sa femme. Il
a donc décidé de la vendre et de le remplacer par un D22 plus
maniable.
|